Publié en août 2023 aux Editions BOD
Disponible sur commande chez l’éditeur, Amazon, Fnac, Rakuten, Furet
En version papier au prix de 25€ ou au format Kindle au prix de 7,99€
Dès l’Antiquité les animaux ont figuré dans les écrits d’inspiration morale, religieuse, mythologique et poétique. Les Fables d’Ésope, et plus tard celle de Jean de La Fontaine, les contes de Grimm, les bestiaires médiévaux, ceux d’Apollinaire, de Primo Levi, de Genevoix, les Histoires naturelles de Jules Renard en sont autant d’exemples.
D’illustres artistes ont illustré ces écrits d’enluminures, de gravures, de dessins et d’autres styles picturaux.
Dans son recueil Ani…mots, Marie Reynaud-Vermunt renoue avec cette tradition du bestiaire poétique illustré. Quinze poèmes parés de gravures réalisées par l’auteur, invitent petits et grands à un voyage au cœur de la faune des contrées proches et lointaines et jusque dans la profondeur des fonds marins. Les images taillées à la gouge, servies par une écriture dense et concise, sont serties dans l’écrin du poème.
Publié en juillet 2023 aux Editions Maïa
127 rue Amelot
75011 Paris
54 53 99 57 maia.editions@gmail.com
Disponible sur commande chez l’éditeur au prix de 18€
« « Du fond du cadre ancien, Flore, impassible, me regardait vivre tristement. Flore, devenue âme depuis longtemps, m’aimait depuis toujours avant même de me connaître. J’acquis vite la certitude que Flore me suppliait que je la fasse sortir de son cadre cerclé de buis dur, qui se révéla vite pour elle la plus atroce des prisons. Je la percevais comme une glycine vivante baignant dans le pourpre dont la pâleur infinie s’infiltrait dans l’ocre grillagé d’un jour naissant d’automne. »
Philippe Courtel nous convie à la lecture de ce conte, une histoire d’amour réunissant deux âmes pelées à vif, refuge de l’une pour l’autre. Un récit sublimé par une magnifique écriture poétique.
Publié en avril 2023
Z.A. Les Sablonnières 05120 L’Argentière la Bessée
04 92 23 15 75 contact@editions-fournel.fr
Disponible au prix de 10€ sur commande chez l’éditeur
Ecrire la poésie au XXIème siècle est-ce bien raisonnable ? Et qui plus est des sonnets dont l’exigence académique contrainte nous renvoie à des cours rébarbatifs et ennuyeux des années lycéennes. Et enfin les réunir en un recueil dans le but de les partager ! Comble de l’outrecuidance, n’est-il pas ?
mais certains ont aussi de merveilleux souvenirs de Ronsard, Baudelaire ou Rimbaud. Ces nostalgiques des belles lettres auront peut-être plaisir à lire des sonnets plus contemporains. C’est en tout cas le pari et le voeu d’Hervé Le Moal.
l’auteur nous fait partager ses interrogations, ses regrets, ses émotions, ses sarcasmes aussi parfois. Le patchwork des thèmes abordés nous emmène flâner au gré de son inspiration sur les chemins de l’amitié, de la famille, de la vieillesse, de l’amour. Des réflexions plus contemplatives, géographiques ou sociétales sont aussi proposées. A chacun d’y puiser un répit dans sa vie, une occasion de rire ou d’être grave, de sourire ou réfléchir…
Publié au 1er trimestre 2023
aux Editions des Poètes Français
16, rue Monsieur le Prince
750106 Paris
Disponible au prix de 18€ sur commande chez l’éditeur
« La plume d’Elena Fernandez-Miranda nous laisse une impression d’émotion.
L’Emotion nous saisit et perdure avec cette sensation vertigineuse d’inachevé dans ce temps de vie, une proximité qui nous transforme, n’est pas pour autant perdu dans le vide des regrets et de la nostalgie.
Ce rêve inouï jamais atteint ou l’amour n’est pas brisé par le temps à l’opposé des modes et des habitudes en vogue, étreint la fabuleuse rencontre du fini et de l’infini.
Merci Elena pour votre admirable résilience en poésie, miracle inconcevable, pour celui qui en état de constante disponibilité peut être guéri et sauvé »
Philippe Courtel
Publié en mai 2022
Editions l’Ecritoire du poète
http://alainmorinais.blogspot.com
Prix Renée Vivien 2021
Préfacé par Marie Reynaud-Vermunt
Stéphane Amiot porte au fond de lui-même ces paysages qui ont fini d’être fleuve et qui ne sont pas encore mer. Sa plume trempée dans l’écume des souvenirs dessine le regard du lecteur sur les paysages de Saintonge, flottant parmi les goélands /à l’échancrure des dunes, jalonnés d’ajoncs, ces hautes jambes d’herbes/Tressées de lumière.
Plus loin, au large, une île sculpte l’océan, Autre tentacule continental / Aile / Remords de terre / Qui s’isole et s’insule. Des images, singulières, puissantes, émergent des flots. Les arabesques des mots moutonnent à marée montante, Une écriture des marées qui nous apprend la geste funambule du mort et du vif.
Stéphane Amiot tapisse le jusant, de ses paysages intérieurs sous l’aubier de lune. Ce recueil est une invitation des sens pour écouter car Tout chante sous le voile du silence.
Ce quinzième recueil de Martine Biard est commenté, postfacé et illustré par la peintre Elisabeth Castoriano, descendante d’une famille juive française qui perdit à Auschwitz quarante-cinq de ses membres.
Issues de la préface signée de l’éminent spécialiste de la Shoah, Tal Bruttmann, ces quelques lignes :
« Auschwitz constitue de fait un lieu sans équivalent, tant du point de vue historique que du point de vue mémoriel. Un lieu d’une complexité rare, tant les politiques nazies qui y ont été mises en oeuvre sont multiples, participant ainsi à embrouiller la compréhension de ce qui s’y est déroulé pendant la guerre.
C’est cette visite à laquelle Martine Biard s’est astreinte. Visite qui l’a marquée et dont elle tire – extirpe ? – cet ensemble. Car il s’agit bien d’un ensemble, où cohabitent poèmes et images, réflexions, constats et questionnements, patiemment articulés les uns avec les autres, brodés afin de donner à voir et penser autour de ce sujet meurtrier, évoqué alors que nous arpentions ces lieux pendant des heures.
Sans nul doute ce ne fut pas chose aisée que cette écriture. Raison pour laquelle le verbe extirper, bien plus qu’ « inspirer » qui sied peu ici, paraît le mieux à même d’évoquer la démarche entreprise. Et dont le résultat invite le lecteur à la suivre page à page.
Préfacé par André Vinas
Illustré par Gaétan Biard
Dans ce premier volume qui initie le cycle Les parcours singuliers, Martine Biard présente : Lettrées en Occitanie du IV au XVIIIème siècle et les Trobairitz, femmes poètes du Sud des XIIème et XIIIème siècles.
La thématique abordée est une occasion de rééditer les entretiens et les florilèges, publiés en 2013, sous le titre Les Trobaitritz, femmes poètes du sud au XXIème siècle, en une version revue et augmentée. Cet ouvrage avait été récompensé par le grand prix de Poésie 2014 des Gourmets de lettres, sous l’égide de l’Académie des Jeux Floraux de Toulouse.
Une abondante bibliographie suppléera aux débats en permettant à chacun de poursuivre les plaisirs de la découverte et de la recherche. La préface est signée André Vinas.
http://www.vallee-du-ciron.com/Documents/Nouvelles/N708.htm#Graines5
Le livre peut se commander en ligne, en librairie ou se télécharger.
Dernier roman jeunesse de Bruno Bonvalet.
Anton Beeble est un jeune américain habitant Montgomery, dans l’Alabama. Son existence est sans histoires jusqu’à ses douze ans, en 1989. C’est en effet à cette époque que son amour démesuré pour la musique – et notamment celle du groupe Asunrise qu’il adore – va le rendre différent des autres. Alors que sa croissance s’arrête net, son corps commence à se transformer…
» …Quand on ne sait plus si l’on est dans la réalité ou si l’on cauchemarde, il n’y a qu’au cinéma où l’on trouve ça incroyablement génial ! »
Livre disponible
- sur le site des Éditions Encretoile - 20, rue Antoine de Saint Exupéry - +33(0)6 63 60 60 4 - contact@editions-encretoile.fr http://editions-encretoile.fr/index.php?id_product=252&rewrite=asunrise-de-bruno-bonvalet&controller=product
- chez l’auteur : bruno.bonvalet1@wanadoo.fr.
ISBN 978-2-367722-57-3 -
314 pages – 19,50 euros (format 215mm x 130mm) -
disponible en versions papier et numérique.
Grand Prix des Jeux Floraux du Béarn 2020
Un sang d’encre
Un matin j’ai trouvé les mots pour le dire
je ne croyais pas qu’ils puissent enfin s’écrire
Ils venaient comme ça sans que je sache comment
Trouvaient la voie et me disaient parfois
Ce que je n’avais cru jusqu’alors qu’entendre
Quand pourtant j’ignorais l’essentiel à comprendre
Dans ce recueil Alain Morinais nous confie comment les mots, « jaillis d’une nébuleuse d’émotions » se tissent dans une écriture limpide et moderne. Sa poésie vibrante brise le silence et nous livre le dialogue intérieur qui guide sa plume.
Paul Silhac nous livre dans ce recueil une œuvre puissante et lumineuse dans laquelle il évoque des instants dense d’émotions, de découvertes et parfois de souffrance. Les thèmes de la mer, de la mort, de l’amour chers à l’auteur sont traités avec élégance et équilibre. Vers et prose se mêlent pour nous livrer sa réflexion sur la poésie, sur l’écriture, sur la quête de vérité. Une dimension philosophique et spirituelle éclaire ce recueil au fil des poèmes.
sergechasson@yahoo.fr
Ce livre À deux voix s’est écrit au fil des jours, poème après poème se répondant un à un, sans volonté de cohérence autre que la réponse de l’un à l’autre, selon l’inspiration de l’autre pour l’un et réciproquement.
Marie-José Pascal pose la première Parcelle de l’invisible le 14 septembre 2020 sans concertation préalable ni orientation volontaire. Alain FC Morinais répond D’un simple regard le jour même, et s’enchaînent ensuite les échanges au rythme d’un à deux textes par jour.
À deux voix est composé de 69 poèmes dont 35 signés de Marie-José Pascal et 34 de Alain FC Morinais.
L’écriture s’est achevée le 20 octobre 2020 parce qu’il fallait bien un jour en décider la fin.
Si cet ouvrage de poésie peut se lire comme un recueil de poèmes appréhendés dans le désordre, il devrait pouvoir être lu de la première à sa dernière page comme un livre racontant une histoire appréciée dans le développement et les rebondissements des étapes successivement proposées. Une rencontre poétique où chacun exprime spontanément une sensibilité toute particulière.
Un chant singulier À deux voix.
http://alainmorinais.blogspot.com
Cette édition établie, présentée et annotée par Nelly Sanchez, nous livre une sélection de documents qui constituent les « Lettres inédites à Jean Charles-Brun ». Une longue histoire a précédé ce travail de recension épistolaire. La première détentrice de ces lettres fut Madame Simone Burguess, héritière de Jean Charles-Brun, en sa qualité d’épouse de son petit neveu. Elle retranscrit et classa chronologiquement cette correspondance, lui consacrant quelques articles et communications citées dans cet ouvrage. Après sa disparition ces lettres furent acquises par Madame Imogen Bright, petite nièce de Renée Vivien. Madame Marie-Ange Bartholomot Bressou entreprit un travail de recherche sur cette correspondance. Hélas elle ne put mener à terme ce projet qui fut repris par Madame Nelly Sanchez. Ce présent ouvrage est donc à considérer comme le fruit d’une collaboration dont l’objectif partagé est de dégager Renée Vivien de sa légende pour l’assoir comme littératrice.
Jean Charles-Brun conseiller littéraire et confident de notre poétesse, était aussi homme politique, fervent régionaliste et félibre. Les lettres que lui envoient Renée Vivien révèlent l’importance qu’elle accordait au travail d’écriture et évoquent les coulisses de la vie mondaine et littéraire de l’époque.
Sous la femme de lettres exigeante et passionnée par son art, explose sa nature libre, primesautière, capable d’une ironie féroce et d’une langue crue. Provocante en son temps, Renée Vivien semble aujourd’hui d’une étonnante actualité.
Publié aux Editions Mauconduit, vendu au prix de 25€
http://mauconduit.com
Aux portes de l’automne, nous retrouvons Martine Biard avec un sixième roman, Ainsi l’aube majeure
« de la plus totale liberté qui improvise de vous enlever à l’improviste ! Ainsi l’Aube majeure est un road book, amical et magique, en Grèce.
On y retrouve Nina, la narratrice de Veilleurs d’horizon, et Douchka, son amie de jeunesse, depuis les « Guetteurs d’infini ». Entre mythes et réalités, des années 80 à l’aube d’aujourd’hui, juste avant le Covid-19.
C’est tonique et irrévérencieux, drôle et cruel, ouvert et tellement profond… C’est jeune. On découvre, on savoure puis on frissonne, « et toujours dans le Sud », comme avec Martine Biard.
https://www.facebook.com/martine.biard.50
« Par le biais de l’imagination littéraire, tous les arts sont nôtres » affirmait Gaston Bachelard. En effet, la poésie les contient tous, dans le regard qu’elle pose sur le monde, dans la musicalité du verbe qui lui est propre.
Nous sommes frères ; la fleur
Par deux arts peut être faite.
Le poète est ciseleur,
Le ciseleur est poète
écrivait Victor Hugo à Froment-Meurice, son ami orfèvre.
Dans son recueil Éphéméride, Marie Vermunt offre une résonance singulière à ces propos en réunissant poèmes, images et musiques. Éphéméride, un écrin où chaque poème déposé sur une image choisie, se prolonge à l’écoute des musiques complices.
Dans cet ouvrage tissé point par point sur la toile des silences entendus, les poèmes s’effeuillent au fil des mots ciselés dans l’acuité du regard. Dans un style concis et lapidaire parfois, l’auteur sculpte cette présence au monde.
https://www. marievermunt.com
Cet ouvrage a reçu le Prix Renée Vivien 2019
Ecrivain, poète, journaliste et scénariste, Jean-Noël Cuénod est né en 1948 à Genève. Correspondant à Paris pour la Tribune de Genève et 24 Heures, il fait partie du mouvement français d’artistes professionnels et d’amateurs d’art La Peau de l’Ours. Il est l’auteur du blog Un Plouc chez les Bobos.
«Qui a éteint le feu?» La tribu des humains dresse ce sinistre constat. Le feu qui les rendait frères et sœurs n’est plus qu’un amas de cendres froides. Recherche du coupable dans les 4 points cardinaux. Mais qui est coupable, en vérité? L’enquête va se muer en quête vers le Vrai Feu. Long parcours au cours duquel le pouvoir incarné par les hommes devra rendre gorge. Les Sorcières, qu’ils avaient brûlées jadis, renaissent de leurs cendres par le souffle de Christ-Femme. Le temps des hommes s’est achevé. Celui des femmes commence. Ou plutôt recommence.
http://jncuenod.com
https://www.ed-des-sables.ch
Lecture par l’auteur d’un extrait de son récit en vers et en prose poétique « Qui a éteint le Feu? » et performance chorégraphique de la danseuse et poète Christine Zwingmann.
Cet ouvrage a reçu la Mention spéciale 2019 de l’Académie Renée Vivien
Martine Biard est née à Toulouse, le 22 septembre 1961. Issue de deux mondes culturels, l’occitan et le catalan, elle vit et travaille dans le Sud de la France, entre Hautes Corbières et Lunel, en Petite Camargue. Elle devient successivement professeur de lettres et certifiée en histoire, après une spécialisation en histoire moderne et en poétique contemporaine. Elle complète son cursus universitaire, à Paris, par une formation qualifiante au management (UNAPEC/OIEC) et des recherches à l’Unesco, sous la direction de Marc Gilmer, sur le système éducatif en Afrique – corroboré par un voyage d’étude au Sénégal, avec une attention particulière pour l’évolution des structures scolaires au Maghreb et au Proche-Orient.
Après avoir participé pendant dix ans au comité de rédaction de la revue Souffles, à Montpellier, Martine Biard, membre et lauréate de l’Académie Renée Vivien, est liée à plusieurs autres associations culturelles en France et dans l’espace francophone. Son écriture s’exprime dans plusieurs genres : poétique, romanesque, socio- historique et spirituel. Formatrice en communication pendant plusieurs années, elle anime aujourd’hui des émissions radiophoniques, des conférences, des performances, des cafés littéraires et des causeries.
Les corridors implacables, « Ce 14ème recueil de Martine Biard nous donne à emprunter maints passages poétiques qui, pour nous emmener en différents lieux qu’elle veut symboliques d’abord, en rejoignent au final un seul : l’Amour. Amour pour l’humanité, les êtres, les choses, et qui revient incessamment au fil des œuvres, quelle qu’en soit la forme. D’emblée, Martine Biard nous invite à un voyage auquel on ne peut qu’adhérer tant ses vers et sa prose sont hautement maîtrisés, denses et d’une beauté implacable. » JG
Cet écrit est suivi de L’excellence du jeune homme désappointé, une suite de réflexions et d’aphorismes dédiée à la génération qui va avoir 20 ans. La préface du poète Jacquy Gil est composée des commentaires de lecture de l’ensemble de l’ouvrage et d’un entretien avec l’auteure. L’ensemble constitue tout un livre d’art illustré de peintures de Gaëtan Biard et d’une partition originale mise en voix par Danielle Alary.
https://www.facebook.com/martine.biard.50
Philippe Courtel est né en 1952 à Saint-Germain-en-Laye. Père de trois enfants, il vit à Vigny, dans le Val d’Oise.
Après sa maîtrise d’histoire contemporaine sur « La disparition du domaine congéable dans le Morbihan de 1789 à nos jours » (avec A.Plessis et Jacques Marseille) il a enseigné cette matière dans l’enseignement secondaire en tant que professeur certifié et actuellement au CNED de l’institut de Rouen comme chargé d’Histoire Contemporaine
Lauréat de l’Académie des Sciences et Belles Lettres de Lyon en 2007, il est auréolé d’un nombre considérable de récompenses littéraires.
Sociétaire de la Société des Poètes Français et lauréat à deux reprises de cette société en 2009 et 2012 il a été trois fois nominé par l’Académie Renée Vivien, dont il est membre
Le temps de vivre, un ouvrage dans lequel Philippe Courtel pèle à vif une existence meurtrie par « les baisers de neiges » de la mère et ses « caresses hivernales« . Une blessure d’où saigne un flot d’amour qui s’écoule sur « un chemin de falaise étroit et sans barrière« , qui emprunte « un tramway imaginaire à la poursuite d’étoiles inconnues », des horizons illimités où « l’enfant au paillasson » s’aventurera toute sa vie.
Philippe Courtel aime à se cacher derrière les mots. Dans ce recueil de poèmes en prose, chacun d’eux porte une puissance émotionnelle à laquelle le lecteur ne peut échapper.
https://www.psf-letrave.fr/pg/nos-editions_la-nouvelle-pleiade__.html
Elena Fernández-Miranda est licenciée en droit, en langue et littérature française, anglaise et italienne et en traduction. Agrégée de français, docteur en littérature française. Elle a été juriste-linguiste à la Cour de Justice européenne et directrice à la direction générale de traduction de la Commission européenne. Elle donne de nombreuses conférences dans des congrès et des universités. Elle a publié plusieurs livres comme auteur et comme traductrice. Elle est membre de l’Académie Renée Vivien.
Les fantasmes d’Apollinaire, un livre dans lequel Elena Fernández-Miranda évoque dans une première partie les images obsédantes et violentes de l’enfance d’Apollinaire et toutes les angoisses qui en découlaient. Elle aborde dans une deuxième partie le thème du sadisme dans la perspective de nombreux fantasmes qui traversent des oeuvres comme « Les onze mille verges » ou les « Lettres à Lou« . Le troisième chapitre traite du masochisme, à propos de Lou notamment. Ce qui frappe dans ce livre c’est qu’il lève toute censure sur l’oeuvre d’Apollinaire, la mettant à nu dans ce qu’elle peut avoir de plus intime et de plus troublant.
https://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=62165
Alain Morinais est sociétaire de l’Académie Renée Vivien et lauréat du prix de poésie libre 2019 des Jeux Floraux de Picardie.
« Merci de nous faire entendre et voir votre chant singulier« c’est ainsi que François Cheng, de l’Académie française, salue cet ouvrage.
Ce recueil est présenté dans l’Anthologie de poésie 2020 de la Société des Poètes Français par Véronique Flabat-Piot, sociétaire de cette même société littéraire, par ces mots :
« Alain Morinais dans Le cri du monde… s’écrit nous livre, dans une poésie libérée – parfois néo-classique ! – très belle, en quatre parties bien distinctes, sa vision du monde contemporain. Il nous invite à Entendre et voir ce qui se passe autour de nous, afin même d’y voir l’invisible et que des mots inattendus surgissent d’abîmes méconnus… Après avoir regardé, il s’agit d’écouter Un monde de silence : les mots ne suffisent plus à transmettre les ressentis et les émotions… Sans les mots pour l’écrire/ l’oubli s’épaissit en silences… Vers presque prophétiques en cette période d’incertitude que nous vivons, que ceux contenus dans cette troisième division Quand l’amer monte… Nous n’en citerons que deux passages, suffisamment explicites sans rien ajouter à leur teneur… Les hommes d’aujourd’hui/ pour ce qu’il en reste/ ignorent le bleu du ciel/ et le sable a le gris des villages ensevelis et Le pays se noie de n’avoir pas compris… Enfin, la dernière section Brise-lames est cette conclusion vers laquelle nous aspirons tous : l’espérance ! Ce sont les mots eux-mêmes qui deviennent brise-lames ! Aux Comment répond l’à venir, lorsque perce la volonté de réécrire le futur, sans pour autant oublier que chacun tient dans sa main la lumière d’un autre âge… Soulignons aussi la faculté d’Alain Morinais de pouvoir jouer avec les assonances afin que ce que l’on entend et ce que l’on peut comprendre, puis lire, soient différents : Quand l’amer monte/ quand la mer monte ; Ô rage/ orage ; Les mots… si on/ l’émotion ; Mon silence résonne/ ma raison déraisonne… etc… En 1989, le journaliste François Broche écrivait, dans l’ouvrage qu’il consacrait à Anna de Noailles (Anna de Noailles, un mystère en pleine lumière, Robert Laffont 1989) Il semblait qu’Anna redonnait goût de la poésie à un public lassé de tous les excès comme de tous les conformisme…Tout est dit. »
http://alainmorinais.blogspot.com
Paul Silhac est sociétaire de l’Académie Renée Vivien et animateur du salon littéraire Rue des arts , qu’il a créé et qu’il organise chez lui à Abbeville dans la Somme.
Rouge comme la mer, son dernier recueil est un petit coffret d’images singulières qui bercent son âme, ce grand voilier qui a besoin de voyager au côté de la femme aimée, des amis complices, au jardin bleu des souvenirs.
Sous la plume de Paul Silhac se dessinent les paysages quotidiens, réels ou oniriques, toujours habités par l’amour. Provocante parfois, sa plume bouscule les croyances, les vérités toutes faites, les fêtes obligées. Vagabonde elle nous entraîne dans les contrées lointaines visitées par le souffle poétique de l’auteur, qui s’il n’avait le poème serait comme un pygmée sur l’autoroute A4.